Ateliers PHILO

« La tendresse »
Voici les paroles des enfants de CE1/2, le vendredi 22 mars 2019.

La tendresse c’est de l’amour, de la gentillesse, de l’amitié, de la joie.
C’est quand on est amoureux.
C’est avoir une personne qu’on aime et ne pas vouloir la perdre.
Ça veut dire qu’on est heureux
C’est sur quelqu’un que l’on compte le plus.
C’est pour quelqu’un que j’aime bien
C’est être gentil avec les amis.
On peut avoir confiance dans les autres, avoir des copains,
leur dire des secrets.
Nos amis il faut les aider, les consoler,
leur faire des câlins, des bisous, leur donner des cadeaux.
Quand on joue avec quelqu’un, on est gentil. C’est parler gentillement.
C’est être gentil et aimer beaucoup de personnes.
Quand quelqu’un tombe, il faut l’aider.
C’est aider quelqu’un quand il en a besoin.
C’est apprendre des choses aux autres.
C’est quand on partage quelque chose avec les autres.
C’est rendre visite à des personnes malades.
C’est bien s’aimer, même si on parle une langue différente,
même si les personnes vivent dans un autre pays.

C’est ne jamais faire mal aux autres en faisant exprès,
ne jamais voler, ne jamais se disputer,
ne jamais dire de gros mots, ne jamais dire de mensonges,
ne jamais rigoler des autres, ne jamais accuser les autres,
ne jamais se moquer quand quelqu’un va chez l’orthophoniste,
ne jamais se moquer des hommes d’une autre couleur,
ne jamais casser les objets des autres,
ne jamais faire ou dire de méchancetés aux autres.

Voici le ressenti des enfants :
Je me suis senti bien. Je me suis senti pas comme d’habitude. On a pu dire ce qu’on a sur le cœur.
Je me sens gentil et triste en même temps. J’aimais bien la tendresse (le thème proposé). J’ai bien aimé ce moment. J’ai bien aimé quand les gens nous écoutent et qu’on peut parler. Je me suis sentie différente, j’avais plus d’amour que d’habitude dans mon cœur.
Ça m’a rendu content, léger. Ça m’a fait du bien.

« La solidarité»
Voici les paroles des enfants de CE1/2, le vendredi 24 mai 2019.
La solidarité, c’est s’aider tous autant que nous sommes
La solidarité, c’est être ensemble.
La solidarité, c’est l’amour.
La solidarité, c’est être ami.
La solidarité, c’est se dire des secrets.
La solidarité, c’est rendre visite aux personnes malades.
La solidarité, c’est être gentil avec les autres qui nous entourent.
La solidarité, c’est être gentil avec ses parents.
La solidarité, c’est aimer les gens.
La solidarité, c’est aider les gens dans la rue,
c’est aider les gens quand ils ont mal, c’est aider ceux qui sont malades,
c’est aider ceux qui sont handicapés,
c’est aider les autres, quand ils n’arrivent pas à faire quelque chose.
c’est aider à apprendre à parler, quand ils parlent mal.
c’est aider les animaux blessés.

La solidarité, c’est être poli avec les gens qui viennent manger chez nous.
On joue avec les autres.
Quand quelqu’un est en difficulté on peut l’aider.
Quand on a fait mal à quelqu’un, on dit pardon.
Quand on fait tomber quelqu’un, on l’aide à se relever.
Consoler les autres, quand ils sont par terre.
Respecter les gens et ne pas faire de mal.
S’occuper de soi-même et laisser les personnes en paix quand ils ont envie.
Si on est amoureux, on laisse faire.
S’il y a un animal dans le jardin, il faut le rendre à son propriétaire.
Si l’animal est sans collier, il faut le prendre et lui donner à manger.

Il y a de plus en plus d’enfants abandonnés sur les trottoirs.

La solidarité, ce n’est pas se faire la guerre
Il ne faut pas se taper, ne pas se bagarrer entre frère, ne pas taper les chats qui viennent dans notre jardin. Si un chat est seul dehors, il faut regarder son numéro et le redonner.
Il ne faut pas écraser les gens sur les passages piétons, il faut faire « gaffe » à la route.
Il ne faut pas ne tuer quelqu’un, mais si c’est notre ennemi.

Les enfants qui n’ont pas parlé, expliquent après le débat :
Je n’avais pas d’idées. Mon idée est déjà dite par les autres.

Les enfants qui ont parlé, expriment leur ressenti après le débat :
C’était bien. J’ai eu du plaisir car les autres n’ont pas fait n’importe quoi.
J’ai dit les choses que j’avais sur le cœur.
Ça m’a aidé pour parlé plus.
J’avais pas d’idées au début, après j’ai eu des idées en écoutant les autres.
J’ai bien aimé, j’avais plein d’idées.
J’ai apprécié parce que personne n’a fait de bêtises avec le bâton de parole. J’ai bien aimé parce qu’on m’a pas coupé la parole.
Il y en a qui chuchotaient, c’est désagréable.
Grâce aux idées des autres, j’ai eu des idées.

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